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Peu après la sortie de son premier album "Perdu d'avance", en 2009, OrelSan avait frappé fort avec le titre "Sale pute", qui avait suscité la polémique et avait relancé le débat sur la vision des femmes véhiculée dans certains morceaux de rap. L'artiste, de son vrai nom Aurélien Cotentin, profite de cette médiatisation pour se faire un nom en faisant découvrir son univers et connaître une certaine popularité sur la scène hip-hop française. Deux ans plus tard, le rappeur revient dans les bacs avec "Le Chant des sirènes". Ici, OrelSan change de look et apparaît sur la pochette de son disque tel un super-héros prêt à dresser un bilan de sa vision du monde qui l'entoure.

Si deux ans se sont écoulés depuis la sortie de son premier opus, OrelSan n'a rien perdu de sa verve et de ses punchlines assassines. L'artiste s'en donne d'ailleurs à coeur joie dans le titre "Plus rien ne m'étonne", où il fustige la nouvelle génération et l'obsession des réseaux sociaux, ou encore des médias. Ces constats au vitriol, OrelSan les propose également dans le très poignant "Suicide social", où il évoque tous les clichés de notre société, ou encore dans "La petite marchande de porte-clés", où il relate le parcours d'une orpheline devenue une immigrée clandestine, en proie à l'esclavage moderne. Outre les thèmes sérieux, le rappeur sait se faire plus léger dans ses textes notamment avec "1990" dans lequel il évoque avec humour les modes et le rap de l'époque.

Avec son flow si particulier et sa plume bien acérée, le "Eminem français", se fait le représentant de toute une génération avec intelligence et sans nous servir un rap moralisateur. Encore une fois, OrelSan, qui partira prochainement en tournée sur le routes de France, signe un album de qualité tant sur le fond que la forme.
Sonia Ouadhi
(www.musicactu.com)" />

Le chant des sirènes

CD
7th Magnitude 2011

Le super-héros du rap français est de retour. Encore une fois, il dégaine ses armes : un humour "borderline" et des punchlines assassines.
Peu après la sortie de son premier album "Perdu d'avance", en 2009, OrelSan avait frappé fort avec le titre "Sale pute", qui avait suscité la polémique et avait relancé le débat sur la vision des femmes véhiculée dans certains morceaux de rap. L'artiste, de son vrai nom Aurélien Cotentin, profite de cette médiatisation pour se faire un nom en faisant découvrir son univers et connaître une certaine popularité sur la scène hip-hop française. Deux ans plus tard, le rappeur revient dans les bacs avec "Le Chant des sirènes". Ici, OrelSan change de look et apparaît sur la pochette de son disque tel un super-héros prêt à dresser un bilan de sa vision du monde qui l'entoure.

Si deux ans se sont écoulés depuis la sortie de son premier opus, OrelSan n'a rien perdu de sa verve et de ses punchlines assassines. L'artiste s'en donne d'ailleurs à coeur joie dans le titre "Plus rien ne m'étonne", où il fustige la nouvelle génération et l'obsession des réseaux sociaux, ou encore des médias. Ces constats au vitriol, OrelSan les propose également dans le très poignant "Suicide social", où il évoque tous les clichés de notre société, ou encore dans "La petite marchande de porte-clés", où il relate le parcours d'une orpheline devenue une immigrée clandestine, en proie à l'esclavage moderne. Outre les thèmes sérieux, le rappeur sait se faire plus léger dans ses textes notamment avec "1990" dans lequel il évoque avec humour les modes et le rap de l'époque.

Avec son flow si particulier et sa plume bien acérée, le "Eminem français", se fait le représentant de toute une génération avec intelligence et sans nous servir un rap moralisateur. Encore une fois, OrelSan, qui partira prochainement en tournée sur le routes de France, signe un album de qualité tant sur le fond que la forme.
Sonia Ouadhi
(www.musicactu.com)

Public :
Tout public  
Classement :
295 Rap, hip-hop, ragga-dancehall  
Sujet :
Rap (musique)  
Contient :
Raelsan.
Le chant des sirènes.
Plus rien ne m'étonne.
Mauvaise idée.
Double vie finir mal.
Si seul.
Des trous dans la tête.
La petite marchande de porte-clefs.
La terre est ronde.
1990.
2010.
La morale.
Ils sont cools.
Suicide social.
Elle viendra quand même  
Notes :
Textes des chansons  

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Message d'information
Code-barres Bibliothèque Localisation Sous localisation Public Cote Situation Identifiant visuel Statut
50760000046 Auray AUR - Espace Image et Son - Tout public 2 ORE 95 Disponible - prêtable